5 Juin 2023
, Rédigé par Jean-Marie Allain
La cacophonie continue allègrement sur le périmètre de la CAMVS.
Si l’on ne veut pas ridiculiser le conseil communautaire, il est temps que le président siffle la fin de la récré et règle les problèmes posés aux communes
Premier problème : l’extinction des feux à 0 h pour les communes urbaines et à 23 heures pour les communes péri-urbaines ne prend pas en compte la morphologie du tissu urbain
Les marpentois qui fument leur cigarette le soir rue principale et qui constatent que Marpent est dans le noir et pas l’autre côté de la rue qui est située à Jeumont, ne comprennent pas cette différence de traitement.
Les plages horaires doivent êtes les mêmes entre urbains et péri- urbains.
Second problème : le non respect des engagements
Après Ferrière la Grande avec la mise en place d'horaires d'été (1h00-5h00), et Louvroil qui n’a toujours éteint, voici Neuf Mesnil qui prend un arrêté pour rallumer toute la commune.
Quant à Jeumont, bien qu’ayant pris un arrêté allant jusqu’au 30 juin pour une extinction de minuit à 5 h en excluant 3 voiries (Rue Jean Jaurès, rue Hector Despret, et Place de la République),la commune garde d’autres rues éclairées entre 1 h et 5 heures, notamment du côté du Watissart
Le fait d’être engagé par une délibération n’a aucun impact.
Une délibération est trop anonyme, chaque élu aurait dû signer une charte et pas simplement voter une délibération.
Troisième problème : les exceptions
Plusieurs communes urbaines ont souhaité soustraire des quartiers entiers au prétexte qu’elles y ont des caméras de surveillance. Dont acte.
Nous aussi avons des caméras de surveillance dans le centre bourg.
Quatrième problème : les limites de la délibération
Difficile de croire que nous recherchons les économies lorsqu’à 22 h, l’EP est allumé dans les 23 communes alors qu‘il fait encore clair comme en plein jour.
CONCLUSION
Les deux raisons de ces dérives tiennent d’une part à une délibération votée précipitamment et sans tenir compte des remarques formulées lors du séminaire qui a précédé le conseil communautaire et d’autre part à une absence du respect des engagements par certains élus.
Au vu de cette dérive généralisée, et dans l’attente d’une clarification qui devra se traduire par un document signé par chaque maire, je ne prolongerai pas mon arrêté au-delà du 30 juin, date jusqu’à laquelle notre commune s’était engagée.
La cacophonie continue allègrement sur le périmètre de la CAMVS.
Si l’on ne veut pas ridiculiser le conseil communautaire, il est temps que le président siffle la fin de la récré et règle les problèmes posés aux communes
Premier problème : l’extinction des feux à 0 h pour les communes urbaines et à 23 heures pour les communes péri-urbaines ne prend pas en compte la morphologie du tissu urbain
Les marpentois qui fument leur cigarette le soir rue principale et qui constatent que Marpent est dans le noir et pas l’autre côté de la rue qui est située à Jeumont, ne comprennent pas cette différence de traitement.
Les plages horaires doivent êtes les mêmes entre urbains et péri- urbains.
Second problème : le non respect des engagements
Après Ferrière la Grande avec la mise en place d'horaires d'été (1h00-5h00), et Louvroil qui n’a toujours éteint, voici Neuf Mesnil qui prend un arrêté pour rallumer toute la commune.
Quant à Jeumont, bien qu’ayant pris un arrêté allant jusqu’au 30 juin pour une extinction de minuit à 5 h en excluant 3 voiries (Rue Jean Jaurès, rue Hector Despret, et Place de la République),la commune garde d’autres rues éclairées entre 1 h et 5 heures, notamment du côté du Watissart
Le fait d’être engagé par une délibération n’a aucun impact.
Une délibération est trop anonyme, chaque élu aurait dû signer une charte et pas simplement voter une délibération.
Troisième problème : les exceptions
Plusieurs communes urbaines ont souhaité soustraire des quartiers entiers au prétexte qu’elles y ont des caméras de surveillance. Dont acte.
Nous aussi avons des caméras de surveillance dans le centre bourg.
Quatrième problème : les limites de la délibération
Difficile de croire que nous recherchons les économies lorsqu’à 22 h, l’EP est allumé dans les 23 communes alors qu‘il fait encore clair comme en plein jour.
CONCLUSION
Les deux raisons de ces dérives tiennent d’une part à une délibération votée précipitamment et sans tenir compte des remarques formulées lors du séminaire qui a précédé le conseil communautaire et d’autre part à une absence du respect des engagements par certains élus.
Au vu de cette dérive généralisée, et dans l’attente d’une clarification qui devra se traduire par un document signé par chaque maire, je ne prolongerai pas mon arrêté au-delà du 30 juin, date jusqu’à laquelle notre commune s’était engagée.