19 Novembre 2022
, Rédigé par Jean-Marie Allain
On peut avoir le sentiment, en lisant la presse locale , que tous « les élus » tirent sur l’entreprise Flamme, ce qui est loin d’être le cas. Ces couvertures médiatiques ne reflètent pas la réalité, beaucoup plus équilibrée qu’il n’y parait.
Et l’annulation du conseil communautaire par B.Baudoux, qui n’est pas un perdreau de l’année, n’est pas liée selon moi à l’agitation qui régnait ce soir là mais à un comptage rapide pas forcément gagnant.
La légitime combativité de Flamme les honore, quoiqu’en disent les élus qui veulent les diaboliser parce qu’ils veulent faire valoir LE droit (pas LEUR droit) et qu’ils refusent de courber l’échine devant les montages scabreux de leurs détracteurs..
Ce sont ces élus qui se déshonorent, allant jusqu’à se considérer comme « non achetables et non corruptibles », autrement dit à l’inverse de celles et ceux comme nous qui ne pensons pas comme eux.
Le dicton populaire « c’est l’hôpital qui se moque de la charité » a encore de beaux jours devant lui.
Avec ces personnages, bien qu’agnostique, j’ai fini par faire mienne cette maxime de l’Evangile selon Matthieu (10/16) : « Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups, soyez donc rusés comme des serpents ».
Lorsque B.Baudoux reconnait qu’il a manqué de « pédagogie », c’est sous entendre que certains ont du mal à comprendre et que çà irait mieux après un petit cours sur les déchets. Il aurait dû employer le mot « transparence » à la place de « pédagogie ».